La hiérarchie des titres est la suivante :
Empereur, Impératrice
Dauphin, Dauphine
Roi, Reine
Prince/princesse régnant(e) (Pour l’aîné(e) de l'Empereur ou d'un roi)
Prince/princesse du sang (Pour les cadets de l'Empereur ou d'un roi)
Archiduc/Archiduchesse
Duc/Duchesse
Marquis/Marquise parfois Voïvode/Voivoda
Comte/Comtesse
Vicomte/Vicomtesse
Banneret/Banneresse
Chevalier/Chevalière
Baron/Baronne
L'Empereur a unifié les royaumes humains (en les vainquant militairement ou en les soumettant diplomatiquement) et il s'est ensuite lancé dans la conquête du monde connu (le Terquépan).
Les royaumes humains et non-humains ont pour la plupart gardé leur régime. Il existe donc des royaumes humains, nains, elfes, etc.
Les archiducs et ducs ne se différencient entre eux que par la taille et le prestige de leurs duchés. S'il est commun de nommer son fils ou sa fille aînée selon le rang inférieur (Marquis pour le fils d'un Duc, Comtesse pour la fille d'un Marquis, etc.) en lui accordant la régence symbolique d'une partie de ses terres, cela n'est pas obligé. Les cadets sont nommés "Monseigneur" pour les hommes et "Dame" pour les femmes.
De même il existe des marches (territoire d'un marquis) qui ne dépendent pas d'un duché, des comtés que ne dépendent pas d'une marche (ou marquisat), etc. Mais cela demeure exceptionnel. La volonté impériale reste l'administration efficace des régions, et l'aristocratie est attachée à cette hiérarchie.
Les marquis et marquises prennent ce titre lorsqu'ils occupent d'anciennes marches qui ne sont plus frontalière d'une zone de conflit. Ils prennent le titre de voïvode ou voivoda quand ils dirigent des terres contestées. Bien que tout l'Empire ait été soumis par Aurélius Martel, les régions les plus reculées demeurent dangereuses et là où l'armée impériale ne voit pas l'intérêt d'intervenir, on nomme souvent un voïvode ou une voivoda.
Les comtes et comtesses forment le corps principal de l'aristocratie impériale. Ils supervisent la population au quotidien et dirigent les comtés, l'unité administrative intermédiaire centrale et nécessaire au fonctionnement de l'Empire. Leurs terres sont voulues suffisamment peuplées pour éviter la dégénérescence bureaucratique et point trop pour éviter les tentatives de sécession.
Les Vicomtes assistent les comtés trop vastes géographiquement et les bannerets dirigent des groupements urbains réunis sous une même bannière (avec des variations locales).
Baron est un titre à part, il représente un anoblissement exceptionnel par la grâce de l'Empereur et peut se cumuler avec d'autres titres. À l'inverse des autres titres de noblesse, il n'est ni héréditaire, ni matrimonial (Le mari d'une baronne n'est pas nécessairement baron, et inversement).
Les chevaliers et chevalières disposent du rang de noblesse le plus bas et assurent l'application des droits féodaux et seigneuriaux.
Empereur, Impératrice
Dauphin, Dauphine
Roi, Reine
Prince/princesse régnant(e) (Pour l’aîné(e) de l'Empereur ou d'un roi)
Prince/princesse du sang (Pour les cadets de l'Empereur ou d'un roi)
Archiduc/Archiduchesse
Duc/Duchesse
Marquis/Marquise parfois Voïvode/Voivoda
Comte/Comtesse
Vicomte/Vicomtesse
Banneret/Banneresse
Chevalier/Chevalière
Baron/Baronne
L'Empereur a unifié les royaumes humains (en les vainquant militairement ou en les soumettant diplomatiquement) et il s'est ensuite lancé dans la conquête du monde connu (le Terquépan).
Les royaumes humains et non-humains ont pour la plupart gardé leur régime. Il existe donc des royaumes humains, nains, elfes, etc.
Les archiducs et ducs ne se différencient entre eux que par la taille et le prestige de leurs duchés. S'il est commun de nommer son fils ou sa fille aînée selon le rang inférieur (Marquis pour le fils d'un Duc, Comtesse pour la fille d'un Marquis, etc.) en lui accordant la régence symbolique d'une partie de ses terres, cela n'est pas obligé. Les cadets sont nommés "Monseigneur" pour les hommes et "Dame" pour les femmes.
De même il existe des marches (territoire d'un marquis) qui ne dépendent pas d'un duché, des comtés que ne dépendent pas d'une marche (ou marquisat), etc. Mais cela demeure exceptionnel. La volonté impériale reste l'administration efficace des régions, et l'aristocratie est attachée à cette hiérarchie.
Les marquis et marquises prennent ce titre lorsqu'ils occupent d'anciennes marches qui ne sont plus frontalière d'une zone de conflit. Ils prennent le titre de voïvode ou voivoda quand ils dirigent des terres contestées. Bien que tout l'Empire ait été soumis par Aurélius Martel, les régions les plus reculées demeurent dangereuses et là où l'armée impériale ne voit pas l'intérêt d'intervenir, on nomme souvent un voïvode ou une voivoda.
Les comtes et comtesses forment le corps principal de l'aristocratie impériale. Ils supervisent la population au quotidien et dirigent les comtés, l'unité administrative intermédiaire centrale et nécessaire au fonctionnement de l'Empire. Leurs terres sont voulues suffisamment peuplées pour éviter la dégénérescence bureaucratique et point trop pour éviter les tentatives de sécession.
Les Vicomtes assistent les comtés trop vastes géographiquement et les bannerets dirigent des groupements urbains réunis sous une même bannière (avec des variations locales).
Baron est un titre à part, il représente un anoblissement exceptionnel par la grâce de l'Empereur et peut se cumuler avec d'autres titres. À l'inverse des autres titres de noblesse, il n'est ni héréditaire, ni matrimonial (Le mari d'une baronne n'est pas nécessairement baron, et inversement).
Les chevaliers et chevalières disposent du rang de noblesse le plus bas et assurent l'application des droits féodaux et seigneuriaux.